

Loin dans la grotte, dans les entrailles de la terre danse un petit sorcier









La modélisation se fait à partir de l’image en 2D
Pour modéliser la grotte, je n’ai trouvé que des plans et quasiment pas de coupes du moins trop peu pour me donner une idée du dénivelé des trois grottes. La vision aplatie enlève beaucoup d’informations comme l’entrée du sanctuaire qui se situerait après une descente de plusieurs mètres.

De la même manère la vue qu’offre le panneau du petit sorcier est une vision « en aplati ». Ce dessin retranscrit les animaux gravé sur une paroi convexe, d’où l’idée de modéliser le rocher sur lequel ils sont gravés ainsi les animaux prendront peut être une situation plus aérée dans l’espace.
Avec la photogrammétrie on pourrait les situer plus précisément en fonction de leur position sur la paroi…. Nous voilà dans la difficulté inverse de la restitution en planisphère de notre planète. Là, il s’agit de redonner de l’épaisseur à une vision écrasée par le filtre de l’image.

Tout en filant la métaphore du planisphère, le point de vue est ici anthropomorphe, centré sur la position du petit sorcier au coeur de toute cette recherche.
Il me reste à modéliser le rocher sur lequel est gravé le petit sorcier afin d’entrer enfin dans la 3° dimension.

Ce passage n’exclue pas le fait que les animaux prendront une autre spacialité quand ils seront animés par les mouvements qui sont suggérés.